C’est un devoir de s’étonner quand l’âge avance vers l’ombre, même si l’ombre semble en apparence encore lointain. Hommes fatigués, qui vous croyez l’esprit fourbu et le corps lointain, étonnez-vous des choses familières, celles que cent fois vous avez croisées et embrassées. Toujours le printemps attend de nous émerveiller : nous lui devons bien cela.
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